Cesson Sévigné - Plan du réseau de ma ville

Chiffres clés à horizon 2030

• 670 000 tonnes de CO₂ évitées sur 13 ans
• 100 % d’énergies renouvelables et de récupération
• 47 000 équivalent-logements raccordés
• + 32 km de réseau, soit 78 km au total
• + 256 sous-stations, soit 547 sous-stations au total
• 156 M€ d'investissements 
• + 110 GWh, soit 328 GWh au final 

Le réseau de chauffage urbain du Sud de Rennes a été mis en service en 1969, pour alimenter les quartiers de Bréquigny et du Blosne et l’Hôpital Sud. Il est aujourd’hui étendu à de nombreux quartiers rennais (Poterie, Sud Gare, Centre) et connaît un développement important depuis plusieurs années (ZAC Guines, Eurorennes, Haut-Sancé). 

La distribution de la chaleur est assurée via 47 km de réseaux et 286 sous-stations (à fin 2024). 

Depuis l’été 2025, l’intégralité des installations fonctionne en basse température (au plus 109°C), gage d’un service plus performant et moins couteux pour ses abonnés. 

En effet, la SEMOP Enersud a démarré en juin 2025 un ambitieux projet pour le réseau avec pour objectifs : 

• D’améliorer la fiabilité et la continuité du service ; 
• D’optimiser les performances techniques des installations ; 
• Et de démarrer le développement du réseau qui va se faire entre 2025 et 2032. 

Dans les années à venir, de nouveaux quartiers de Rennes et de Saint-Jacques de la Lande seront desservis par le réseau de chauffage urbain : Cleunay, Courrouze, Pigeon-Blanc, Gaité Sud, Rennes Centre, Sud Gare, Francisco-Ferrer, le Landry, et l’écopôle Sud Est. 

Le chauffage urbain de Rennes a été mis en service en 1969.  Historiquement, le réseau de chauffage ENERSUD était en haute pression.

Depuis quelques années, la technologie basse pression est privilégiée car elle bénéficie de nombreux avantages. Elle garantit des conditions de sécurité d’exploitation optimales et un coût de mise en œuvre réduit. Le réseau de chauffage urbain ENERSUD contribue à la qualité de l’air que vous respirez.

Il est doté d’une mixité énergétique favorisant à 56 % les énergies renouvelables permettant ainsi une meilleure gestion environnementale et une diminution de rejets de 25 800 tonnes de CO₂ par an.